LE PREMIER HOMME

2012 | 11 TITRES | 39’20 | ÉCOUTER L’ALBUM

Pochette - Le premier homme

01  L’AUTORADIO DE MON PÈRE
02  DES CORPS
03  TORRENTS DE BIÈRE
04  ÉPHÉMÈRE
05  LE PREMIER HOMME
06  TROP DE TOUT
07  MA FUGITIVE
08  TATIANA SUR LE PÉRIPH
09  ROCKER LOCAL
10  COMME UN JEDI
11 LA PYRAMIDE

Quatre ans après Singapour, les frères Bobin n’abandonnent pas la veine sociale creusée dans le précédent album : on y rencontre encore des losers magnifiques dans La pyramide ou dans quelques portraits humanistes (Tatiana sur le périph et Rocker local). Frédéric Bobin aborde par ailleurs des sujets plus intimes et personnels : les souvenirs d’enfance (Comme un Jedi), la transmission (L’autoradio de mon père), l’absence (Ma fugitive) et la renaissance amoureuse (la ballade folk Le premier homme qui donne son titre à l’album).

Avec toujours une pointe d’humour et de dérision, Frédéric s’amuse des travers de notre époque dans les chansons Des corps et Trop de tout, aux couleurs pop, tandis que Torrents de bière et Éphémère évoquent avec élégance, dans une esthétique plus rock, la fuite du temps et la vanité de toutes choses…

Prolongement de Singapour, Le premier homme affirme le son et le style Bobin, où se rencontrent chanson d’auteur et musique d’influence anglo-saxonne.

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Paroles : Philippe Bobin / musique : Frédéric Bobin
Réalisation, arrangements : Frédéric Bobin et Marc Arrigoni
 
Prise de son, mixage : Marc Arrigoni pour Paon Record
Mastering : Christophe Darlot
Conception graphique : François Lehérissier
Editions : Ah bon Publishing
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Frédéric Bobin – voix, guitares, basse, piano, orgue hammond, banjo
Jonathan Mathis – piano, basse, harmonica, choeurs
Mikael Cointepas – batterie, percussions, contrebasse, basse, choeurs

REVUE DE PRESSE

On entend ses doigts glisser sur les cordes comme ceux de McCartney quand il joue Blackbird. Soudain le piano sonne comme chez Johnny Cash à son crépuscule. La guitare de Tatiana sur le périph cite discrètement All Along the Watchtower… Hormis ces influences respectables, Frédéric Bobin a ramené de ses plongées auditives une rare exigence mélodique qui court sur les onze titres de son deuxième album.
Crapauds et Rossignols

Très belle réussite que ce disque qui creuse le sillon entamé vers l’épure, pose son regard sur les laissés-pour-compte ou autres losers magnifiques comme avec Tatiana sur le périph.
Hexagone

Essai transformé avec ce second album, quelque temps après ce petit bijou intitulé Singapour. […] Bobin signe là, en artiste-citoyen, un bel opus peuplé de losers magnifiques et de blues urbain.
Commission d’écoute des discothèques de la ville de Paris

La guitare est soyeuse, la voix est doucement proche. […] Des chansons sensibles et bien faites.
C’est déjà ça / Sud Ouest

Un album empli de cette sensibilité qui fait les vrais artistes. Il faut écouter, et lire, Ma fugitive, Tatiana sur le périph ou encore Trop de toutpour se dire, comprendre et se réjouir de ce que la chanson « en français » recèle encore et toujours des talents susceptibles d’assurer la relève. A coup sûr, Frédéric Bobin appartient à ce monde-là.
Vigousse / Suisse

L'HISTOIRE DES 11 CHANSONS

Frédéric revient sur la genèse des onze chansons du Premier Homme pour la revue « Reims Oreille » (pages 4 à 7) > ici !