NEWSLETTER JANVIER 2018
NOUVEL ALBUM
Concerts sortie d'album
LYON - A Thou Bout d'Chant - 26/01 (en duo avec Mikael Cointepas) /// COMPLET
LYON - A Thou Bout d'Chant - 27/01 (en duo avec Hélène Piris) /// COMPLET 

 
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Photos : David Desreumaux / Graphisme : Nicolas Michel
CONCERTS JANVIER 2018
20/01  VOURLES (69) - Théâtre Maison Forte - 20h30
(co-plateau avec Claire Sabbagh)

en duo avec Mikael Cointepas (contrebasse, guitare, chœurs)
Infos, réservations 

26/01  LYON (69) - A Thou Bout d'Chant - 20h30 /// COMPLET
SORTIE D'ALBUM !
en duo avec Mikael Cointepas (contrebasse, guitare, chœurs)
Infos, réservations

27/01  LYON (69) - A Thou Bout d'Chant - 20h30 /// COMPLET
SORTIE D'ALBUM !
en duo avec Hélène Piris (violoncelle, basse, chœurs)
Infos, réservations


CONCERT février/avril 2018 :

03/02  CHARLY (69) - Concert chez l'habitant
09/02  MONTMIRAIL (51) - Chant'Hiver
17/02  MACON (71) - Crescent Club 
25/02  DONNAT (30) - Chansonynme
03/03  L'ABERGEMENT DE VAREY (01) - Concert chez l'habitant
09/03  BOURG LES VALENCE (26) - Concert chez l'habitant
10/03  CREST (26) - Concert chez l'habitant
11/03  ST SYLVESTRE (07) - Salle Véga de Lyre
23/03  ALBI (81) - Chantons sous les toits
24/03  ALBI (81) - Chantons sous les toits
30/03  PANTIN (93) - La Menuiserie
31/03  IVRY SUR SEINE (94) - Forum Léo Ferré
06/04  GAILLAC (81) - Festival Les Petits Bouchons
08/04  ANCIZES-COMPS (63) - Festival Ernest Monpied
12/04  GENEVE (CH) - L'Ere des Belles
13/04  GENEVE (CH) - L'Ere des Belles 
14/04  BOULANGE (57) - Centre Culturel Le Sillon
30/04  VAISON LA ROMAINE (84) - Festival Brassens
PRESSE ECRITE
CHANTER C'EST LANCER DES BALLES (blog)
Chronique de l'album LES LARMES D'OR

"Une pochette d’album et un livret sobres, élégants. 
Du blanc, du noir. Comme  les deux pôles de nos vies écartelées entre ombre et lumière.


Au recto l’homme est debout. (...). Barbe naissante, mains dans les poches, regard franc planté dans le nôtre. Cet homme-là ressemble fort à celui que nous connaissons dans la vie.
Au fil des pages du livret, on le découvre assis de dos sur un tabouret de scène que l’on voit plus loin accompagné des chaussures et de la veste négligemment déposée. Il pose ensuite appuyé sur le coffret de sa guitare, tête baissée, puis aux côtés de Kent, souriant, bras croisés. On le voit aussi les doigts mêlés comme en prière – une attitude que nous lui reconnaissons –   tête baissée encore, enfin en plan rapproché, en légère contre-plongée, regard tourné vers le lointain, avant que la dernière page ne le présente assis sur le tabouret – de face cette fois – en contrepoint du début.
C’est un peu comme un court métrage si l’on veut bien s’y attarder. Car l’artiste a besoin d’isolement, de réflexion, de revenir à lui-même, avant de revenir faire face au public et de lui offrir ses chansons, comme autant d’étapes de sa vie intérieure.

Or cette vie personnelle n’aurait aucune chance de faire des chansons si elle ne nous concernait pas tous. C’est là le talent de Philippe, auteur des textes, et de Frédéric son frère. Nous donner à entendre un peu de nous. Nous tendre un miroir, sans concession, mais jamais sans espoir.
Du noir. Du blanc.
La musique de cet album est résolument  teintée des atmosphères venues du grand Ouest américain, de ces ballades que Frédéric Bobin affectionne tellement. Les guitares, qu’elles soient acoustique, électrique, « slide » ou « weissenborn » concourent à nous émouvoir, à nous interpeller aussi  avec ce petit quelque chose d’un ailleurs spatial et temporel. L’harmonica y a sa large  part bien sûr, et le violoncelle s’accorde aux remous de l’âme, nous le savons bien. La basse est là, comme cœur qui bat, et la batterie s’en vient  scander les moments d’intensité.

Frédéric dévoile en scène, depuis des mois, quelques unes de ces chansons réunies dans  cet album. Elles trouvent maintenant leur expression aboutie, magnifiée.
(...) Mais c’est surtout la création, la poésie, la musique, qui sont les liens ténus mais têtus entre les hommes. c’est la Musique blessée qui s’élèvecelles des opprimés, des vaincus, nos frères « Si tu l’entends / O mon frère/ Dans le silence de la mer/ Soulève-toi / O mon frère /Même si tu cries dans le désert ».

L’essentiel est dans le lien entre les êtres humains.  Or, qui mieux que l’artiste peut le tisser ?
« Mais pour un seul poète / Qui vole vers l’azur / Mais pour un seul prophète / Qui fait trembler les murs… Tant qu’il y aura des hommes on pourra espérer ».

La première chanson, Le soir tombe, son bilan mélancolique s’achève ainsi « J’ai laissé au bord du sentier/ Quelques poèmes inachevés / Si tu viens les cueillir demain / Je veillerai jusqu’au matin ». Super 8 dit à peu près la même chose : J’aurai tout de même / Semé quelques graines / Dans le bleu des villes / Des mots et des notes / Qui cognent à la porte /Des cœurs en exil. Des mots et des notes pour tout bagage, des Larmes d’or

Nous y voici à  la chanson éponyme de l’album, Les larmes d’or. Nous y voici à cet alchimiste,  belle image de l’artiste sans qui la vie serait si triste et qui donne sens au parcours de Frédéric Bobin sans aucun doute possible."

Claude Fèvre

> Lire l'article intégral

RADIO
RCF - émission En Mode Avion (28') - invité : Frédéric Bobin
Présenté par Renaud Volle
interview + 1 chanson en live acoustique + diffusion de 2 chansons extraites du nouvel album

> Ecouter l'émission en podcast
 
                      
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