2018 | 12 TITRES | 40’05 | ÉCOUTER L’ALBUM
01 LE SOIR TOMBE
02 SUPER 8
03 TANT QU’IL Y AURA DES HOMMES feat. Kent
04 LA MAISON DE MON GRAND-PÈRE
05 LA VIE QU’ON AURAIT PU VIVRE
06 UNE GOUTTE D’EAU
07 LE DERNIER VOYAGE DE SINDBAD
08 JIMMY
09 LES ÉTREINTES INTERMITTENTES
10 LA FIANCEE
11 MUSIQUE BLESSÉE
12 LES LARMES D’OR
Après les albums Singapour (2008) et Le Premier Homme (2012) et de nombreux concerts en France et à l’étranger (Suisse, Québec, Sénégal, Lituanie, Pologne…), Frédéric Bobin revient avec 12 nouvelles chansons, toujours co-écrites avec son frère Philippe.
D’une voix proche et chaleureuse, Bobin chante une collection de folksongs dont les ambiances acoustiques ne sont pas sans rappeler les premiers Leonard Cohen, certains albums de Dylan ou les ballades de Johnny Cash et Springsteen.
En plus des guitares folk et électriques de Frédéric, on y entend la contrebasse et la batterie de Mikael Cointepas, le violoncelle d’Hélène Piris, l’harmonica de Vincent Dupuis et on y croise Kent qui prête sa voix à un duo humaniste (Tant qu’il y aura des hommes).
La ballade folk Le soir tombe donne le ton de cet album profond et mélodieux, où le lyrisme du violoncelle se marie à la guitare slide des grands espaces…
Quelques chansons oniriques (La maison de mon grand-père, La fiancée) côtoient des portraits réalistes de losers magnifiques (le diptyque Jimmy / Le dernier voyage de Sindbad) et même un autoportrait teinté d’ironie et de nostalgie (Super 8).
Quant aux histoires d’amour, chez Bobin, elles sont marginales (la ballade pop sixties Les étreintes intermittentes) ou fantasmées (La vie qu’on aurait pu vivre).
Tout au long des douze plages de cet album aux arrangements boisés et épurés, la recherche de la note juste, du mot juste, est constante, comme dans le texte d’Une goutte d’eau qui prône un retour à l’essence des choses, sans fard, sans artifices.
L’album s’achève sur deux chants d’espoir, en hommage aux artistes (Musique blessée, Les larmes d’or).
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Une impression de pureté, de grands espaces. Magnifique. Hexagone
Un nouvel enchantement. tout en pudeur et en retenue. Une douce mélancolie évoquant par moment l’univers de Souchon. Commission d’Ecoute des Discothèques de la Ville de Paris
Une épure classieuse, élégante. Douze nouvelles pièces magistrales. Bravo. Nos Enchanteurs
Un album d’une qualité exceptionnelle, classe, sobre, épuré. Avec des influences à la Dylan, et même parfois à la Ennio Morricone. Le blog du Doigt dans l’Oeil
Son meilleur cru. Douze pépites, douze trésors à s’offrir. Le Journal de Saône-et-Loire
Cette galette est un hymne. Hymne à la tendresse, à la mélancolie, une poésie solaire entre deux cumulus que l’artiste colporte jusqu’à filer le frisson. Plouc Magazine (Christian Décamps, chanteur du groupe Ange)
Entre chanson française et influences anglo-saxonnes, le chanteur lyonnais marche sur un fil mélodique et gracieux. (…) On pense à Yves Simon, Alain Souchon ou Kent, son ami lyonnais avec lequel il a enregistré un duo sur son nouvel album. Le Progrès
Un travail musical bourré de finesse, qui colle à merveille à des textes souvent d’une grande profondeur. Music in Belgium
Il n’assène pas, mais suggère. Tant qu’il y aura certains chanteurs, la vie méritera d’être rêvée… Chants-Songs
Classé parmi les 8 indispensables de la rédaction du magazine Francofans
Classé pendant 4 mois dans le Top des Radios du Réseau Quota (mars/avril/mai/juin 2018)
En tête du palmarès des albums de l’année 2018, selon NOS ENCHANTEURS